Bouhou

NoaNymes

Un Noa de type troll
Aventurier
10 Février 2013
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Belgique
Bonsoir à tous cher r0xiens,
Ce post a été crée pour que vous, r0xiens ( vous voyez qui d'autres ? ), puissiez écrire ( pas bouhou, hein ) des histoires qui font peur !!!!!!!!!!!!
Par exemple : l'histoire du slenderman, d'herobrine, de la dame blanche,... MAIS à votre façon ou si vous préférer à votre sauce ( ce post n'est pas créé pour que vous puissiez mettre vos recettes de sandwich :p) )
Euh vous voulez que je vous montre exemple, ok :
Noa : bouh
Slenderman : *hurlement*

Ou encore, tapez www.google.com sur votre barre de recherche :crazy:


Bah voilà, et bonne écriture ou copier/coller c'est la même chose :p)

NoaNymes
 

NoaNymes

Un Noa de type troll
Aventurier
10 Février 2013
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Belgique
Baaderhs, si tu veux écrire une histoire, il faut :
- choisir un creepy pasta de ton choix
- inventer une histoire tournant au tour de lui

Et avec ça, vous pourrez faire un brownie au chocolat
 

Volpestein (Edge)

Vespéral
Aventurier
22 Avril 2013
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France
C'est l'histoire d'un poney, il va faire du sport et là.... BAM il se tord la cheville . Moi aussi j'était choqué la première fois que l'ont me la racontée ...
 
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Chloe_Plumy

Petite Plume
Vétéran Résident
16 Février 2013
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Nord (59)
Un petit récit. J'espère qu'il vous plaira ;)
___
"Le froid règne sur le monde, a croire qu'il n'en finira jamais..."pensa Jon's en regardant par la fenêtre. "Si seulement, un rayon de soleil pouvait percer ces nuages..."
Jon's s'installa a son bureau, munie d'une petite bougie, éclairant un carnet où repose ses écrits. Ce dernier pris une plume, qu'il imprégna d'encre, puis commença a écrire.
10 aout 1987,Tournai. Un blizzard glaçant, gèle la ville, et maintenant, la neige tombe...L'électricité est coupée, nous n'avons plus qu'une solution, se résoudre à quitter la ville.
Jon's referma son carnet, le reposa soigneusement dans l'angle du bureau, "Il faut quitter la ville, mais comment..." Sa pensée, fut interrompue par sa bougie, sa flamme se mis à vaciller, avant de s'éteindre...le parquet craqua, Jon's scruta la pièce, dans l'ombre, se leva. Le parquet craquait toujours, comme si Jon's n'était pas seul. Soudain une musique ce mis en marche, venant du salon, le son de sa harpe. Jon's était pourtant seul chez lui... Il s'avança, vers la porte du salon, l'ouvrit.
Un halo blanc, se rapprochant d'un corp d'une femme, était assis sur une chaise et jouer de la harpe. La musique s'interrompit. Silence.
On retrouva Jon's, mort, allongé sur le sol. Nul indice fut trouvé. Rien.
 
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NoaNymes

Un Noa de type troll
Aventurier
10 Février 2013
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Belgique
L'origine d'Herobrine

Avant la mise-à-jour 1.6 de la bêta sur minecraft, un kikoo créa un monde aléatoire et décida de commencer à se faire des outils, récolter de la bouffe,... Le début de tout minecraftien quoi.
Mais un jour, il décida d'aller miner et après quelques minutes d'exploration, il trouva un minerai de diamant et le mina avec sa pioche en fer qui venait de sortir du four, malheureusement une coulé de lave était caché derrière le minerai et celle-ci avançait vers le kikoo qui ne savait point que la lave brûlait.
Et tout à coups, un terrible hurlement venant du kikoo qui s'était brûlé les yeux mais ce n'était pas une brûlure quelconque, les yeux du kikoo avait disparu et laissa place à 4 pixels blancs.
Après quelques secondes, le kikoo fut tué par un creeper, le joueur irl ragequita sans faisant respawn et fermit son ordinateur.
Cette action provoqua un bug sur le jeu, le skin du kikoo aux yeux blancs s’implémenta sur minecraft mais pas comme les autres mobs mais dans une des archives du jeu.
Et un autre jour, le kikoo irl décida de rouvrir minecraft et de générer un monde mais après avoir coupé son bois, il remarqua un mob qu'il n'avait jamais vu, le skin d'un joueur aux yeux blancs.
Je crois que vous connaissez la suite ;))

Remarque : le pseudo du kikoo irl est MaxLeFou
 
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hokardjo

Ancien Staff
Vétéran Ambassadeur
29 Août 2011
975
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29
Aube (10) - France
www.hokardjohauruprod.fr.nf
Aller, je m'essaye (mais bon, sans musique c'est nul les histoires qui font peurs... A la limitie, je peut vous proposer celle là en fond, elle met bien l'ambiance je trouve :) ) (Attention: Pavé!)

Bob était un mineur, tout ce qu'il y a de plus ordinaire.
Il s'installa sur une petite ile, assez proche d'un village en passant par la mer.
A son premier jour, il construisit une petite maison en terre, le temps de s'adapter... Mais il n'était pas à l'aise... Il se sentait observer...
A chaque fois qu'il se retournait, il n'y avais pourtant rien d'autre que de l'herbe et des arbres.
L'angoisse montait en lui de jour en jour, il construisit une maison avec très peu de fenêtres, et sa chambre ne comportait aucune ouverture, il verrouillait la porte a double tour chaque soir. Pourtant, chaque matin il se réveillais en sueur, et cherchait du regard où était l'individu qui l'observais. Mais rien.
Au bout d'un moment, il décida de se plonger dans le minage pour ne plus penser a ce sentiment de fixation.
Et quand il entra dans la mine, son soulagement fut total: Le regard qui pesait sur lui depuis des jours venait de s'en aller.

Mais son soulagement ne fut que de courte durée, après s'être enfoncé dans les profondeurs, un sentiment d'étouffement monta peu a peu en lui, il se sentait non plus observer, mais oppresser. Il trouva malgré tout une dizaine de diamant et une bonne centaine de blocs de fers. Faisant mine de ne pas prêter attention cette oppression, il se réjouie de sa journée, et remonta a la surface content de lui.

Le regard revint et l'étouffement s'en alla.

Bob alla se coucher, en ayant pris soin de cacher son butin dans un coffre sous son lit: Hors de question que cette chose qui le fixait s'en empare! Il irait les vendre dès demain sur le marché du village voisin.
A son réveil, horreur, nul trace de son butin de la journée passer! Partager entre la colère et la peur, Bob s'en retourna miner, sa cavité n'était pas finie et elle semblait prometteuse!
Cette fois ci, en seulement quelques heures, il ramassa plusieurs stacks de fer et un stack de diamants, mais une chose le chiffonnai: Il avais trouvé, a l'emplacement même où il avais miné hier, tout son butin de la journée passer, en place, comme si jamais il ne l'avais miner.
Bien décidé a ne pas se refaire voler, il décida d'embarquer le jour même pour le village. Mais il ne retrouva point son bateau... Emporter par le courant? Ou bien...

Il fit mine de ne pas se préoccuper de cette absence, et se reconstruisit un bateau avec ses réserves de bois. Il parti en direction du village.
Arriver au port, il ne trouva aucun autre bateau amarré, aucun commerçants, rien. La ville était déserte et pourtant, tout était encore en place, comme si tout le monde étaient partis d'un coup.
"Et moi qui espérais tirer un bon pris de ces diamants" se dit Bob en regardant son inventaire, lorsqu'il s’aperçut que tout ses objets s'étaient envolés! Ses minerais, mais aussi ses outils, tout avais disparu!
Il retourna au port d'un pas précipité. Le brouillard s'était levé, et le bateau qu'il avais pourtant solidement amarré n'était plus là.
Commençant a cédé a la panique, il retourna a la ville fantôme en courant, mais lorsqu'il sorti du brouillard, ce ne fut pas la ville qu'il vit, mais sa maison! Il était de retour sur l'île!
N'en croyant pas ses yeux, il resta immobile, tétanisé et apeuré.
Soudain, une feuille de papier tomba devant lui.
Après un sursaut, il ramassa la feuille... Il y avais une rose des vents en bas, c'était donc une carte... Une carte de l'île. Il la regarda et constata avec effrois que l'île avait la forme d'une tête de mort.
Il entendit un craquement derrière lui, sans réfléchir, il couru, droit devant lui, il savait que sa maison ne le protègerai pas, il devait fuir. Il couru a toutes jambes, les craquements derrières lui.
Dans un élan de courage ou de folie, il regarda derrière lui, et senti soudain un manque d'air et une sensation de froid. Il était tombé dans l'eau! Ses pieds s'étaient accrochés a la vase et plus il se débattait, plus il s'enfonçait. Il essayait de crier tant bien que mal, d’appeler au secours, mais l'air commençais a lui manquer.
Soudain, il le vit. Devant lui, dans l'eau. Ce n'était pas un homme, mais plus un lutin, tout de vert vêtu, avec une tête de mort a la place du visage, et un sourire carnassier visible malgré son manque de peau. Il se délectait de la souffrance de Bob.
Bob ne tînt plu, son instinct de survie le força à respirer et ainsi pris fin sa vie.
FIN

Voila, je sais pas si ça fait vraiment peur, mais j'ai pris plaisir a inventé ce petit truc :p)
 
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Miss_blonde

Chou officiel
Aventurier
19 Mars 2013
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Strasbourg / village paumé du 68
Voici ma petite histoire, elle est moins bien que celle d'hokar mais bon :p)
Édit: J'offre trois diams a celui ou celle qui trouvera de quel livre / film l'histoire est inspirée ! :p)
Re-édit: GG a baaderhs qui a trouvé !


Il faisait très sombre quand Alice rentra chez elle. La petite fille avait a peine neuf ans, mais sa maman travaillait et ne pouvait la chercher. Elle quitta donc l'école, remonta le col de son imperméable jaune pour se protéger du froid mordant de l'hiver, rangea son ours dans sa poche et s'engagea sur le chemin du retour.
Elle marchait en écoutant ses chaussures crisser sur la neige. Soudain, un léger bruissement vint perturber la quiétude de la nuit. La petite se retourna, son petit cœur battant la chamade; son esprit d'enfant s'imaginait déjà les pires monstres rôdants autour d'elle. Alice continua a marcher, en s'exhortant au calme. Elle était une grande fille, les monstres ne lui faisaient pas peur. Elle accéléra le pas, essayant désespérément d'ignorer les bruissements du vent qui chuchotait a son oreille tel un géant. C'est alors que, passant devant une bouche d'égoût, elle l'aperçut.
Un petit garçon se tenait assis dans les égouts, et regardait Alice par l'embouchure. La lumière du lampadaire se reflétait dans ses yeux noirs et vides. Il semblait y avoir une flamme a l'intérieur de lui. Alice s'approcha.
- Que fais-tu ici ? Demanda t-elle.
- Je veux jouer. Tu veux jouer avec moi ?
Alice serra son ours, hésitant entre obéir aux recommandations de sa mère qui lui avait ordonné de ne pas trainer ou a l'appel du petit garçon. Finalement, elle s'approcha davantage.
- Viens jouer avec moi, répéta le petit garçon.
Il tendait une main dans laquelle se trouvait une petite poupée. Alice sourit et tendit la main a son tour, le regard rivé sur le petit jouet. Au moment de prendre la poupée, elle releva les yeux et son regard rencontra celui du garçon. Les yeux noirs avaient fait place a deux orbites vides et dégoulinants de sang. Le gentil sourire s'était mué en une balafre déchirant la peau verte et parsemée de dents noirs. Alice hurla de peur, et voulu retirer sa main. Mais le monstre -car il s'agissait bien d'un monstre- la serra. Il la tira vers lui. Alice se débatit, mais la force qui l'entraînait était aussi implacable et autoritaire qu'un bœuf tirant une charrette.
Un homme qui fermait ses volets entendit les cris de la petite et se précipita dehors. Il aperçu l'imperméable d'Alice. Composant d'une main le 911, il le retourna de l'autre, voulant porter secours a la pauvre Alice. Et il hurla a son tour.
Il n'y avait plus que la main d'Alice serrant son ours en peluche, et le rire lointain d'un petit garçon.
 
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NoaNymes

Un Noa de type troll
Aventurier
10 Février 2013
1 480
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Belgique
Voici ma petite histoire, elle est moins bien que celle d'hokar mais bon :p)
Édit: J'offre trois diams a celui ou celle qui trouvera de quel livre / film l'histoire est inspirée ! :p)


Il faisait très sombre quand Alice rentra chez elle. La petite fille avait a peine neuf ans, mais sa maman travaillait et ne pouvait la chercher. Elle quitta donc l'école, remonta le col de son imperméable jaune pour se protéger du froid mordant de l'hiver, rangea son ours dans sa poche et s'engagea sur le chemin du retour.
Elle marchait en écoutant ses chaussures crisser sur la neige. Soudain, un léger bruissement vint perturber la quiétude de la nuit. La petite se retourna, son petit cœur battant la chamade; son esprit d'enfant s'imaginait déjà les pires monstres rôdants autour d'elle. Alice continua a marcher, en s'exhortant au calme. Elle était une grande fille, les monstres ne lui faisaient pas peur. Elle accéléra le pas, essayant désespérément d'ignorer les bruissements du vent qui chuchotait a son oreille tel un géant. C'est alors que, passant devant une bouche d'égoût, elle l'aperçut.
Un petit garçon se tenait assis dans les égouts, et regardait Alice par l'embouchure. La lumière du lampadaire se reflétait dans ses yeux noirs et vides. Il semblait y avoir une flamme a l'intérieur de lui. Alice s'approcha.
- Que fais-tu ici ? Demanda t-elle.
- Je veux jouer. Tu veux jouer avec moi ?
Alice serra son ours, hésitant entre obéir aux recommandations de sa mère qui lui avait ordonné de ne pas trainer ou a l'appel du petit garçon. Finalement, elle s'approcha davantage.
- Viens jouer avec moi, répéta le petit garçon.
Il tendait une main dans laquelle se trouvait une petite poupée. Alice sourit et tendit la main a son tour, le regard rivé sur le petit jouet. Au moment de prendre la poupée, elle releva les yeux et son regard rencontra celui du garçon. Les yeux noirs avaient fait place a deux orbites vides et dégoulinants de sang. Le gentil sourire s'était mué en une balafre déchirant la peau verte et parsemée de dents noirs. Alice hurla de peur, et voulu retirer sa main. Mais le monstre -car il s'agissait bien d'un monstre- la serra. Il la tira vers lui. Alice se débatit, mais la force qui l'entraînait était aussi implacable et autoritaire qu'un bœuf tirant une charrette.
Un homme qui fermait ses volets entendit les cris de la petite et se précipita dehors. Il aperçu l'imperméable d'Alice. Composant d'une main le 911, il le retourna de l'autre, voulant porter secours a la pauvre Alice. Et il hurla a son tour.
Il n'y avait plus que la main d'Alice serrant son ours en peluche, et le rire lointain d'un petit garçon.

Tchukie ? (une poupée qui tue)
 

baad

Membre de la communauté
Aventurier
18 Avril 2013
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"il" est revenu pour le film et ça pour le(s) livre(s) de Stephen king.
 
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baad

Membre de la communauté
Aventurier
18 Avril 2013
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merci, je lègue mes 3 diamants au premier nouveau qui se connecte quand tu seras connectée au principal.
 
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Pommy

Ancien Staff
Vétéran Ambassadeur
16 Juin 2012
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28
Montpellier
J'me suis un peu emportée et l'histoire d'horreur que ça devais être a la base s'est transformé en tragédie. m'enfin, je poste quand même.


Silence.

Musique.

Les premières notes s’élèvent, toutes à la légèreté que requiert le morceau. Pas un bruit. crainte de dénaturer le morceau sacré. Première enjambée.

Danser, toujours danser, suivre un rythme qui n’appartient qu'a nous, que nous sommes seuls a connaître.

Trois mouvements vers la gauche, un en arrière, pas de bourré pour finir un demi tour pour pouvoir tout recommencer, inlassablement, en espérant ne pas en voir la fin.

L'heure n'est plus aux larmes ni aux lamentations, l'heure est a la valse, l'heure est au partage, celui d'un pas avec la seule qui peu compléter le vide en moi, ma sœur, ma jumelle

Pouvez-vous croire au lien qu’entretiennent les jumeaux ? Moi oui. elle mon double, ma semblable. Je l'aime plus qu'il n'est possible d'aimer quelqu'un.

Pourtant, ce soir, elle va mourir.

Nous sommes juste avant la nuit. Le moment qu'elle préfère, le plus propice pour une valse, celui où la musique s’élève et atteint le ciel, celui où les peines s’envolent, et celui où je vais perdre ma vie, moi aussi.

Nous sommes juste avant la nuit. La danse a un pouvoir sans nom. Elle réunit les êtres dans un même sentiment, l’amour de la beauté du geste.

Oublier, tout faire pour oublier, rechercher l’apaisement de nos cœurs dans un enchaînement d’appuis et d'avancées.

Danser pour exister, danser pour ne plus y penser, tout ça n'a plus d'importance, rien n'en a.

Maintenant, dansons.

Valse de vienne.

La dernière de nos valses.

Je n'ai jamais danser qu'avec elle, à la fois ma vie et ma raison d’être vivant.

À minuit, nous mourrons, mais ceci dans l’apaisement de nos années vécues et dans le regrets de celles que nous ne verrons jamais.

Je ne regrette rien, c'est un drame tellement commun. Je ne verse pas de larme. Je n’en suis plus capable.

La fin est proche. Quelques mesures encore…

Il arrive, ce froid qui me saisit la poitrine. Docilement, je laisse mes yeux se fermer. Je sais qu'elle aussi le ressent, nous sommes liés dans la mort comme nous l'avons été durant toute notre existence.

Nous ne prononçons pas un mot, nous dansons, ma main dans sa main, l'autre sur sa taille, nos regards ne se lâchent pas.

Nous savons, que notre glas sonne et qu'à son dernier coup, nos cœurs s’uniront dans un dernier et unique battement.

Plus que quelques secondes, je ralentis l'allure, La prend dans mes bras.

Toutes les histoires n'ont pas une fin heureuse. Mais je ne saurais dire si la notre se termine mal. Il me semble que c'est juste un commencement. Mais je ne sais pas de quoi.
 
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